Caractère
Je suis une femme très excentrique, j'aime porter des vêtements qui sont extrêmement colorés, parce que cela apporte de la joie. Je pourrais dire que j'aime être le rayon de soleil qui apporte le sourire surtout quand on travaille dans un domaine où l'on doit affronter des horreurs. Il fut un temps cependant, ou je traversais une grosse dépression et à cette époque, je portais du gothique, souvent habillé de noir, d'où mon nom d'Hackeuse
Reine noir. J'aime changer de coiffure et c'est pour cela que mes coupes de cheveux ainsi que leurs couleurs sont tout aussi improbables, sans oublier mon maquillage très voyant et les accessoires qui ajoutent une touche d'extravagance ; (lunettes, bijoux, accessoires de cheveux.)
Je suis une personne haut en couleur, et on le ressent dans ma personnalité, je suis quelqu'un de très amical et qui aime apporter son aide aux autres. Toujours, là, quand on a besoin de moi, je soutenais l’équipe derrière mes différents écrans d’ordinateur, de mon bureau couvert de bibelots. Je pense que je pouvais dire que j'étais une sorte de magicienne de la technologie, capable d’extraire de l’éther, pardon, de l’internet, des informations obscures sur les gens et les lieux, afin d’aider à résoudre le cas de chaque semaine.
Bien que je sois une jeune femme eucentrique et dynamique. Je suis aussi excessivement sensible, ce qui rendait parfois mon travail douloureux. Heureusement que quand mon métier devenait trop dur, je regardais des vidéos de chatons pour me changer les idées.
J'étais dévouée dans mon travail, enfin, je suis toujours dévoué dans ce que j'accomplis. J'avais pu entendre que j'étais la seule analyste technique du FBI. De plus, j'étais excellente dans ce que je faisais, certaines même disais que j'étais la meilleure. En fait, je ne sais pas trop. Tout ce que je pouvais dire, c'est que j'adorais ça. J'étais une programmatrice fantastique. J'étais extrêmement protectrice envers mes ordinateurs et les données du FBI, bien que je le sois toujours. Mais sachez que je protège aussi mes amis et ceux que j'aime.
J'adore également jouer à des jeux de rôle en ligne. D'ailleurs, je bosse actuellement sur la création d'un jeu, mais je n'en dis pas plus. C'est un projet que je compte bien finir un jour.
Ce que vous devez savoir aussi, c'est que je suis une autodidacte, tout ce que je sais, c'est parce que je l'ai apprise par moi-même. Bon au début grâce aux études, mais n'ayant plus la possibilité d'aller en cours, j'ai fini par faire les choses de moi-même et quand on aime ce que l'on fait, c'est beaucoup plus facile.
Je suis aussi une grande romantique, je crois au prince bien qu'il soit déjà entré dans mon cœur seulement, il ne le sait pas encore puisque je n'ai jamais pu lui dire ce que j'avais sur le cœur. Cependant, je lui serais fidèle à jamais et loyal envers lui et mes amis.
Biographie
J'ai perdu mon père quand j'avais dix ans d'un cancer. Depuis ce jour ma mère qui était une femme joyeuse, c'est renfermé sur elle et de jour en jour, je l'ai vu dégringoler. Je la regardais descendre en enfer sans pouvoir l'aider. J'étais trop jeune à l'époque et puis j'étais aussi triste qu'elle après tout, j'avais perdu aussi quelqu'un que j'aimais. Pour elle, c'était son mari et pour moi, mon père. Le chagrin était bien trop présent pour que je puisse avoir la force de l'aider. J'aurais aimé faire disparaître les larmes de son regard, seulement même si elle m'aimait très fort, rien ne pouvait remplacer l'amour de sa vie. Les pleurer avait envahi mon enfance. C'était devenu difficile à la maison. Je trouvais refuge sur mon PC et à l'école. Oui, à l'époque, j'adorais déjà l'informatique.
Puis doucement, je vis ma maman changer, elle recommençait à sourire, à faire attention à sa façon de s'habiller, recommencer à s'occuper de moi comme autrefois. C'était incroyable de la voir remonter la pente ainsi. La relation que j'entretenais avec elle avant la mort de mon paternel reprenait son cours. Je revoyais la maison prendre vie à nouveau. J'étais heureuse de la voir ainsi bien que je me pose des questions. C'est normal après tout ! On ne change pas comme ça du jour au lendemain sans raison. En-tout-cas, c'était mon point de vue bien que cela me remonte le moral.
Tout allait de mieux en mieux pour nous deux. J'ai appris un peu plus tard qu'elle se rendait souvent dans un groupe de parole. C'était un endroit de discussions où l'on vous aidait à surmonter votre deuil. Cela la réussissait plutôt bien ! Elle me demandait parfois de l'accompagner et avec son soutien, je pouvais désormais parler moi aussi de mon chagrin. Ce ne fut pas tout, elle rencontra un homme qui fit battre à nouveau son cœur via ce même groupe. Cet homme était partagé par la même douleur que celle de ma mère. La perte d'un être cher pour lui, c'était sa femme. Puis au fil du temps, ils tombèrent amoureux, ma mère avait le droit à l'amour une nouvelle fois.
Quelques années plus tard, ils décidèrent de vivre ensemble. Nous étions devenus une famille recomposée avec ses trois enfants, trois garçons pour être exact. Deux d'entrées, elles étaient plus âgées que moi et le troisième approximativement le même âge avec quelques mois de différence. Je n'étais plus seule, j'avais gagné des frères et la vie était géniale. Ensuite, ils eurent un enfant ensemble, un quatrième garçon, mon petit frère.
Mais notre bonheur ne dura pas. Une nuit, alors que nous étions tous endormis, des individus sont entrés dans la maison. Ils nous avaient réveillés pour nous réunit au salon. Nous avions les mains attachées dans le dos avec des colons et ils nous avaient obligés à nous asseoir l'un à côté de l'autre. Nous savions ce qui nous attendait puisque ces hommes étaient passés à la télévision. Des tueurs en série, ils se faisaient appeler "les bourreaux du bonheur", ils choisissaient toujours des familles heureuses pour les massacrer. C'est ce qui sait passer. Ils ont commencé par notre père, puis James, Leon. Pendant qu'ils battaient Charly à coups de battes, ma mère a profité d'un moment d'inattention de leur part pour me murmurer à l'oreille de fuir avec Lucas. Elle me suppliait les larmes aux yeux de nous sauver parce que nous étions tout ce qui lui restait et qu'une façon, il fallait qu'il ait au moins un témoignage pour que criminelle arrête de tuer des innocents. Je lui fis la promesse de suivre son plan même si j'avais voulu ne pas la quitter. Alors quand ce fut mon tour d'être battue, ma mère se rua sur eux, me permettant de nous enfuir moi et mon petit frère. On courra jusqu'à la chambre de mes parents, comme elle nous l'avait expliqué, on trouva une paire de ciseaux pour couper nos liens, ensuite, on s'enferma dans la pièce afin que nos harceleurs ne puissent pas entrer ou du moins nous faire gagner du temps. Pour plus de sécurité, je demandai à Lucas de se mettre à l'abri dans le placard et de ne pas bouger. Une fois fait, je pris le téléphone de ma mère sur sa table de nuit et je composai le numéro des secours. Il fallut quelques secondes avant que quelqu'un ne me réponde et j'étais terrifié, je tremblais de partout, mais il fallait que je garde mon calme afin de pouvoir expliquer la situation à la personne au bout du fil.
Au bout de je ne sais combien de temps, j'entendis les sirènes et les hommes qui nous avaient fait du mal venaient de prendre la fuite avant que les secours arrivent à notre domicile. Toujours tremblante, je sortis Lucas de sa cachette tout en lui demandant cependant de rester dans la chambre. Il était si courageux. Une fois avoir vérifié qu'il n'avait plus rien à craindre, je courus rejoindre ma mère qui avait été rouée de coups à son tour, néanmoins elle était vivante !
Les secours-là, on nous conduisit à l'hôpital pour recevoir les soins adéquats. Je donnais mon témoignage au policier comme me l'avait demandé ma mère. Elle ne pouvait pas parler, elle était dans le coma ! Lucas quant à lui, il était trop petit et choqué pour qu'il puisse dire quoi que ce soit.
Lucas et moi avions survécu, mais pas notre mère qui était avait fini par mourir quelques jours plus tard suite au coup qui avait endommagé son cerveau. J'avais dix-huit ans, je pouvais donc m'occuper de Luca qui avait à peine quatre ans. Je sais que ce que nous avions vécu cela lui a laisser un traumatisme et que toutes les nuits, je le réconforte après un cauchemar. Il n'a plus jamais voulu dormir seul après ça.
De mon côté, j'ai dû arrêter mes études pour pouvoir m'occuper de Luca. Mes parents avaient quelques économies de côté, j'ai pu ainsi garder la maison un petit temps. J'ai vite compris que la vie était chère, entre le loyer, l'électricité, l'eau, l'internet et sans oublier les courses pour que nous puissions manger. L'argent diminuait assez vite, et même avec les petits boulots que je fessais, il n'y avait jamais assez pour pouvoir tout payer.
C'est ainsi qu'au bout d'un an, on a fini par être à la porte et nous devions dormir dehors. Je finis par trouver une caravane que j'avais louée avec l'argent qui me restait. C'était compliqué de jour en jour. Il fallait manger, s'habiller plus tout le reste et ça demandais l'air de rien une fameuse somme.
Il fallait que je trouve une solution, alors j'ai fait ce que je savais faire de mieux, la programmation. Je proposais mes capacités contre de l'argent. Je piratais pour mes clients, leur procurais des programmes, détruisais des systèmes de sécurité ! Je sais que c'était hors-la-loi ce que je fessais seulement cela me permettais d'avoir le nécessaire pour Luca ne manque de rien.
J'étais devenu une hackeuse et la plus demander. J'adorais mon travail et ça me permettait de m'améliorer de jour en jour, la programmation. C'était mon univers, un peu ma bouée de sauvetage. J'ai même pénétré dans les ordinateurs du gouvernement parce que je voulais savoir où en était l'affaire de mes parents qui ne semblait pas bouger. Il semblerait qu'ils n'aient pas assez d'informations malgré mon témoignage. Il fallait tout de même avouer qu'ils avaient demandé que mon petit frère apporte son témoignage lui aussi. Pour ma part, il était trop petit pour parler de cela et je refusais de le faire revivre cette nuit-là et de toute façon sa psy était du même avis que moi. Normalement seul ce que j'avais déclaré ainsi que tout ce qu'ils avaient récolté sur les autres meurtres aurait dû suffire. Alors qu'est-ce qui n'allais pas ? Je n'avais pas plus d'information.
Quelques mois plus tard, les meurtriers de nos parents nous avaient retrouvés alors que dans la logique des choses nous auront dû être sur la protection du gouvernement. Comment savaient-ils où nous trouver ? On se fit attaquer et je me réveillai à l'hôpital où on m'apprit la mort de mon petit frère. Je n'avais aucun souvenir de ce qui s'était passé. C'était le trou noir et à vrai dire, c'est toujours le cas. Je ne me souviens de rien !
Je sombrai dans la dépression tout en continuant cependant mon travail d'hackeuse. Je me plongeai dans un univers noir et où je m'habillais dans le style gothique. .
C'est quand je croyais ne plus avoir d'espoir que la FBI m'arrêtait. Je me trouvais sur la liste des Pirates les plus recherchées. Peut-être avais-je fait exprès de me faire arrêter ? Où était-ce juste un coup de chance pour eux ? Allez savoir ! Je me disais voilà, c'est la fin ! Mais je m'attendais pas du tout à ce qu'il me propose un travail. J'avais le choix la prison ou travaillée pour eux ? J'avais sans doute une chance d'aider des personnes dans la même situation que la mienne, alors j'acceptais le boulot.
C'est ainsi que je me suis retrouvé comme analyste au FBI dans le département des sciences du comportement. En somme, mes collègues étaient des profileurs. Grâce à leurs profils, ils aidaient pas mal de personnes et arrêtaient beaucoup de criminelles qui pour la plupart étaient des tueurs en série. Je l'ai même aidé à arrêter ceux qui avaient assassiné ma famille et cela me rendit fière.
J'avais repris goût à la vie, et même ma façon de m'habiller. J'étais devenu le rayon du soleil de l'équipe. Je leur devais bien ça. Le travail était difficile, il y avait beaucoup d'horreur qui était compliquée à surmonter. L'équipe était formidable et on s'attendait à merveille. Je suis également tombée amoureuse d'un de mes collègues, il avait toujours des mots doux pour me réconforter. J'étais heureuse et au moment où je m'apprêtais à lui dévoiler mes sentiments, il dut partir. Le grand patron avait décidé de dissoudre le département pour manquement d'argent.
Je suis resté travailler encore quelques années pour le FBI tout en continuant à penser à l'homme que j'aimais me demandant où il était parti, ce qu'il fessait refusant de laisser un autre entrer dans mon cœur.
Je finis par démissionner parce que je n'en pouvais plus de ses horreurs et l'ambiance n'était plus la même sans ma famille (mes anciens collègues). Cependant, il n'y avait pas que ça qui me poussa à partir. J'avais découvert par hasard un dossier qui me fit comprendre que le grand patron fessait du détournement d'argent. Le fric qui manquait était ce qui avait autrefois obligé mes anciens collègues à partir.
Après avoir remis ce dossier, je démissionnai et décidai de changer de vie. Pour cela, je décidai de faire mes valises et de partir pour Paleyos.
Cela fait un mois que je suis installé dans cette ville, mon désir de bonheur m'a donné l'idée de devenir organisatrice de mariage, je peux aussi organiser d'autres fêtes telles que les anniversaires et tout ce qui pourrait passer dans la tête de mes clients. Je pense à Bryan et peu importe où il est mon cœur lui appartiendra toujours même si je n'ai jamais pu lui dire que j'étais amoureuse de lui. Je n'ai pas oublié d'emporter mes ordinateurs avec moi, j'aide encore de temps en temps la police, mais ce n'est plus ma principale activité et je suis en pleine création d'un RPG !
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, en général, je réponds dès que c'est possible ^^. Et voici mon dernier mot J'adore le fow^^ je vous adore 
