Les épreuves ont forgé sa force, elle marche avec grâce malgré les cicatrices.

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Trisha Collins

Identité

Je m'appelle Trisha Collins, parfois on me surnomme Trish ou Tia. Je suis né(e) le 15 juillet 1997 à San Francisco,, en Californie et j'ai 26 ans. Je suis célibataire et je préfère les hommes. J'adore mon métier, car je suis/fais Plongeuse professionnelle et Biologiste sous-marine . Je fais partie du groupe Alone et il paraît que je ressemble à Abigail Cowen.

Caractère

Je m'appelle Trisha, et je suis quelqu'un qui a appris à être forte, même si parfois je ne me sens pas toujours comme telle. J'ai dû surmonter des épreuves difficiles, mais ces expériences m'ont appris la patience et la résilience. Je suis une personne discrète et introspective, préférant souvent la tranquillité aux grands rassemblements. Mais cela ne signifie pas que je n'apprécie pas la compagnie des autres. J'aime les moments de calme, mais je trouve également du réconfort dans des discussions profondes avec des amis proches.

Je suis très empathique et je ressens profondément ce que les autres vivent. Peut-être est-ce parce que j'ai traversé des moments sombres moi-même. J'ai tendance à être loyale envers ceux qui m'ont soutenue, prête à tout pour les protéger. J'ai aussi un petit côté romantique. J'aime les moments simples : des promenades sur la plage au coucher du soleil, des dîners tranquilles à la lueur des bougies, ou des soirées passées à écouter de la musique douce.

Je crois en l'amour et en la connexion authentique. Malgré mes expériences passées, j'ai toujours eu cette petite étincelle romantique. Je rêve de trouver quelqu'un qui puisse comprendre mon monde intérieur, quelqu'un avec qui je pourrais partager des moments spéciaux. Je sais que je peux être timide et hésitante, mais je crois que lorsqu'on trouve la bonne personne, tout semble plus facile.

Au travail, j'aime être au centre de recherche sous-marine. L'océan a toujours été un endroit de paix pour moi, un lieu où je peux me sentir libre. C'est là que je peux laisser ma créativité s'exprimer. Je suis curieuse par nature, et j'aime explorer le monde qui m'entoure. Cette curiosité se reflète aussi dans ma vie personnelle. J'aime découvrir de nouvelles choses, goûter de nouveaux plats, et même rêver d'aventures romantiques dans des endroits lointains.

En résumé, je suis un mélange de force et de vulnérabilité, de pragmatisme et de romantisme. J'ai mes peurs et mes doutes, mais je suis ouverte à l'amour et aux connexions authentiques. J'aime croire que, malgré les défis, il y a de la beauté à trouver et des liens à tisser.

Biographie

Cela fait cinq ans que j'ai commencé à travailler dans le centre de recherche sous-marine que M. Gold a fait construire pour moi. Cet homme a toujours été là quand j'en avais le plus besoin, alors être ici et travailler dans ce lieu est une sorte d'hommage à tout ce qu'il a fait pour moi quand il était encore là. C'est grâce à lui que j'ai pu obtenir mon diplôme, grâce à la confiance qu'il avait en moi que j'ai pu avancer alors que je n'avais plus confiance en moi. Je ne me souviens pas de mon enfance, mais je sais qu'on m'a fait du mal, beaucoup de mal. C'est peut-être ce qui explique pourquoi je n'ai jamais cru en moi.
Heureusement, M. Gold était là et m'a appris à voir ce que je ne pouvais pas voir, alors que je souffrais en silence.

M. Gold a vu la tristesse qui m'habitait alors que les autres se moquaient de moi. Il avait un tel pouvoir que je me rends compte maintenant de son importance. Avec le temps, il a pris une telle place dans mon cœur que je ne sais pas si j'aurais pu surmonter tout cela sans lui.

La première fois que je l'ai rencontré, j'avais environ 10 ans. Je n'ai jamais fugué de la maison, j'avais trop peur de le faire. Cependant, un jour, je me suis perdue, j'étais envahie par une telle peur de rentrer à la maison que je n'ai pas fait attention à où j'allais, et c'est ainsi que ma route a croisé celle de M. Gold. Il faut dire que j'ai toujours aimé tout ce qui touche à l'eau, et me retrouver par hasard dans un centre de recherche océanique, c'était merveilleux. Je crois que c'était la première fois que je me sentais bien, en sécurité, et où la peur quittait mon cœur. Je me suis approchée de l'eau, je me suis assise sur le bord, les pieds nus plongés dans l'eau, et en fermant les yeux, je me suis sentie libre. Mon cartable était à côté de moi, ainsi que mes chaussures. Je ne sais pas combien de temps je suis restée ainsi, mais cela m'a fait un bien fou. Je pouvais enfin respirer. Doucement, j'ai ouvert les yeux et j'ai vu qu'un vieux monsieur me souriait. Les mots qu'il a prononcés ce jour-là resteront gravés dans mon cœur, et ce sont ces mots qui m'ont ouvert les yeux sur le monde de l'océan.

Il faut dire que depuis que je suis petite, j'ai toujours été attirée par l'eau. J'aurais voulu apprendre à nager, à plonger dans cet univers, mais ce n'était pas au goût de mon père. Non, il avait en quelque sorte déjà choisi pour moi, disant qu'il savait ce qui était bon pour moi, ce que je devais faire, et que je n'avais pas mon mot à dire puisqu'il était le chef. Cet homme inspirait la peur, mais je le voyais aussi comme une sorte de dieu. Malgré le mal qu'il m'a fait, je l'aimais. C’est normal, c'était mon père après tout. J'ai grandi entourée de violence, mais j'ai également eu la chance d'avoir un échappatoire ; sans cela, je ne sais pas si j'aurais pu surmonter cela. Ma maman, quant à elle, me protégeait à sa manière, en prenant souvent les coups à ma place. Cependant, elle ne pouvait rien faire, c’était lui qui décidait de tout. Le matin, on devait faire le moins de bruit possible pour ne pas le réveiller, car s'il se réveillait, c'était la catastrophe. Un jour, c'était la Saint-Nicolas à l'école, et mon frère, qui devait avoir 6 ans, était si heureux qu'il sautait sur le lit. Ma mère avait beau lui dire d'arrêter, mais il continuait. Elle avait juste peur de réveiller le paternel, et malheureusement, c'est ce qui s'est passé. Mon père est entré dans la chambre, a attrapé mon frère et l'a projeté contre le mur de l'autre côté de la chambre, ce qui a résulté en une épaule déboîtée. Bien sûr, à l'hôpital, ma mère n'a rien pu dire. C'est lui qui a pris la parole, disant que mon frère était tombé du lit en sautant parce qu'il était heureux que Saint-Nicolas venait à l'école. Je ne me souviens pas de cet épisode ; c'est ma mère qui me l'a raconté. Quand j'avais 6 ans, un an avant cette scène, l'école avait fait appel à un service pour aider les enfants, parce que nous n'avions pas d'hygiène et que nous étions mal nourris, mais ils n'ont rien fait. Il a fallu que j'aie environ 12 ans pour qu'ils décident enfin de faire quelque chose.

Les gens qui sont supposés protéger les enfants des horreurs qu'un père qui boit, se drogue et abuse de ses enfants, ne devraient jamais détourner le regard. Bon c'est vrai que nous n'avions rien dit sur cela et puisqu'ils ne savent pas ce qui se tramais réellement, c'était compliqué pour nous de parler a cette époque et encore maintenant c'est difficile. Cependant ils savait qu'il se passer quelques chose, mais ils n'ont pas agit directement. Ma mère quand a elle, a été considérée comme une femme qui ne s'occupait pas de nous, mais ce n'était pas vrai. Elle devait se taire pour éviter la violence.

Parfois, je me demande si c'est normal de garder le silence, mais cela m'a laissé des cicatrices invisibles. Cela m'a aussi rendue trop sensible. C'était M. Gold qui a permis que je trouve un refuge au centre océanique. Il a parlé avec mon père, et je ne sais pas comment il a fait, mais il a réussi à obtenir la permission pour que je puisse y aller une fois par semaine, parfois moins si mon père était de mauvaise humeur.

J'aurais dû protéger mon frère et ma sœur parce que c'était le rôle de la grande sœur. Mais je ne l'ai jamais fait, car j'étais à part, un peu le mouton noir de la famille. Ces deux-là étaient complices, et comme j'étais la plus grande, c'est moi qui étais punie à leur place. Peut-être est-ce pour cela que je n'ai pas pris soin d'eux comme je l'aurais voulu. Ils étaient mutuellement protecteurs, alors que moi, je devais me débrouiller seule.
Cependant, à l'école, il arrivait à mon frère de me protéger contre ceux qui me harcelaient. Quand on est différent des autres, les enfants peuvent être cruels. Ils ne comprennent pas les conséquences de leurs actions. Se moquer, insulter, pour eux, c'est juste un jeu, mais pour celui qui est attaqué, c'est bien plus douloureux. À la maison, c'était difficile, surtout à cause de ma maladresse. J'avais droit au surnom de "cruche," mais je n'osais jamais répondre, ni fuir, ni désobéir.

Il y a quelques années, avant que ma mère ne disparaisse pour rejoindre les anges, nous parlions devant une tasse de café. Tantôt de rien, tantôt de sujets sérieux. Elle me racontait le calvaire qu'elle avait vécu et comment elle était restée pour nous. Elle m'a confié qu'un jour, elle avait voulu fuir la maison, et elle avait réussi, mais elle n'a pu emmener que ma sœur et moi. Mon père a gardé mon frère, et ma mère n'a pas pu imaginer partir sans lui, alors elle est revenue et a continué de subir ce calvaire infernal.

Puis un jour, quand j'allais avoir 12 ans, nous avons été retirés de la maison. J'étais assise devant la porte, lisant un livre, quand j'ai vu arriver la camionnette de la police. Ma mère, mon frère et ma sœur étaient dedans. Je ne me souviens pas de ce jour-là, mais on m'a dit que c'est parce que ma mère avait commis un vol, ce qui nous a conduits au commissariat. Les vols qu'elle a commis n'étaient même pas pour elle, mais pour nous, pour nous offrir des choses simples comme du chocolat ou des bonbons, car nous n'avions pas le droit d'en avoir.

Je ne peux pas vous dire ce que je mangeais, je ne m'en souviens pas. Peut-être parce que ma mère n'est plus là pour m'expliquer. Je pourrais demander à mon frère ou à ma sœur, mais je n'ose pas. Peut-être parce que c'est déjà compliqué pour moi, ou peut-être que cela l'est pour eux aussi. Pourtant, ils se souviennent de tout, alors que moi, j'avance dans le noir sans comprendre toutes ces peurs.

J'ai appris à vivre avec ça. Chaque jour est un combat que j'arrive à surmonter grâce à mon travail, et grâce à des personnes comme M. Gold qui ont enfin décidé de faire quelque chose. Ils nous ont retirés, mon frère, ma sœur, et moi, du domicile familial, mais il leur a fallu cinq ans pour agir. C'était uniquement pour mal nutrition et le manque d'hygiène. Encore une fois, Ma mère a été catégorisée comme une femme qui ne s'occupait pas de nous, mais elle n'avait pas le choix, elle ne pouvait pas parler pour éviter de subir encore plus de violence.

Tous les quinze jours, nous rentrions à la maison, mais je ne peux pas vous dire si c'était difficile ou non. Tout cela est un vide dans ma mémoire, et je préfère que cette boîte reste fermée pour me protéger. Malgré tout cela, j'ai gardé contact avec M. Gold, et j'avais toujours la possibilité d'aller au centre océanique. C'était un refuge pour moi, ma bulle, un endroit où je pouvais me sentir bien et protégé du chaos. Rien ne pouvait effacer le mal que mon père nous faisait, mais je gardais le silence, ne parlant pas de ce qu'il faisait à moi, à mon frère, ou à ma sœur. La honte, la peur ? Peut-être les deux. Peut-être la crainte de ne jamais revoir mes parents.

Parfois, je me demande pourquoi je n'ai pas parlé de cela, ce qui a laissé une cicatrice invisible sur mon âme et mon cœur. Il a détruit mon enfance, peut-être est-ce pour cela que je suis devenue une jeune femme trop sensible. Je me souviens de ce jour où ma mère avait les larmes aux yeux, un sac à la main, et nous a ramenés au foyer. Je ne l'ai plus jamais revue jusqu'à mes 16 ans. Une brocante avait été organisée au foyer, et elle est venue me voir, accompagnée par une personne qui l'a aidée à surmonter tout cela. Depuis, j'ai repris contact avec elle. À mes 17 ans et demi, j'ai décidé de partir. Malgré ce que mon père avait fait, j'ai décidé de vivre chez lui, car il avait rencontré une autre femme. On m'a donné un choix : vivre seule ou vivre chez mon père. La solitude n'était pas pour moi, alors j'ai choisi de vivre chez lui.

Bien sûr, il y avait des moments heureux, mais les abus continuaient. Lui n'avait pas arrêté de boire, et il a commencé à battre sa seconde femme. Elle ne se laissait pas faire et se défendait, ce qui a même conduit un jour mon père à l'hôpital. Puis, elle a décidé de le quitter, et c'est là que j'ai pris peur et j'ai demandé à ma mère si je pouvais vivre chez elle. J'avais 18 ans. Bien sûr, mon père n'était pas d'accord, mais il n'avait plus rien à dire, car j'étais une adulte. Ma mère m'a protégé, et j'ai vécu chez elle. J'ai gardé contact avec mon père, mais je n'y allais jamais seule.

J'ai pu continuer mes études et fréquenter le centre océanique. M. Gold m'a proposé un travail, et j'ai accepté. J'ai travaillé dans ce domaine tout en terminant mes études. Une fois diplômée, j'ai commencé à travailler à temps plein. Quelques années plus tard, mon père a été tué. Le meurtrier a dit qu'il n'en pouvait plus du bruit, alors il l'a tué. Je dois avouer que j'ai ressenti un soulagement, mais aussi une douleur, car c'était mon père, malgré tout. Parfois, je me demande pourquoi il a agi ainsi, mais je sais que je ne le saurai jamais.

Quelques années plus tard, mon beau-père est décédé, puis ma mère est tombée malade. Elle est restée deux mois à l'hôpital, puis est rentrée chez nous. J'ai pris soin d'elle, mais elle a fini par fermer les yeux et s'est endormie pour toujours. Cela a été très difficile, et vivre là était devenu insupportable. Heureusement, M. Gold a décidé d'ouvrir un second centre océanique à Paleyos, et il m'a offert l'un des plus grands cadeaux : ce centre. C'était un endroit merveilleux où je pouvais m'épanouir et prendre un nouveau départ. C'est ainsi que je me suis retrouve dans une nouvelle ville, prête à recommencer et cela fait cinq exactement que je vie a Paleyos.

Derrière l'écran

Mon pseudo sur le net est Kimbell, j'ai + de 20 ans et j'aime Beaucoup de choses. J'ai découvert le forum par Joanne et je le trouve Magnifique. Je fais du RP depuis je ne sais plus, en général je répond en assez facilement sauf quand mes soucis de santé ne me le permettent pas ou que je souffre du syndrome de la page blanche. Et voici mon dernier mot ce personnage risque de prendre du temps pour être construit (Pasky tu connais la raison) je remercie la fondatrice du fond du cœur de me permettre de la créer, je demande donc un peu plus de temps pour cette demoiselle, sinon je vous adore...

(c) Padsky

Re bienvenue !
Pas de soucis, prends tout le temps dont tu as besoin ! ^^
Si tu as besoin de quoi que ce soit, n"hésite pas à demander mes mp sont toujours ouverts ! ^^

**Messages :** 15 **Avatar :** Abigail Cowen

@Joane Jackson Merci beaucoup, je n'hésiterai pas si j'en ai besoin. ^^

Je t'en prie ! J'adore le choix de l'avatar ! ^^

Bienvenue !

**Messages :** 15 **Avatar :** Abigail Cowen

@Bryan Cooper Merci Beaucoup ^^

Bienvenue à toi !
Je pense que je vais te demander un lien ! ^^

Ta fiche est parfaite !
Je te valide ! ^^

Tu peux aller faire des demandes pour ton logement ou autre ici >https://lovestory.forumactif.com/f13-vos-besoins
Et tu peux faire journal de liens et répertoire RP ici > https://lovestory.forumactif.com/f14-journaux-de-bord

Si tu as des questions, n'hésite pas à contacter un membre du staff ! ^^
Bonne installation ! Very Happy

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@Bill Kaulitz Pas de soucis et merci beaucoup ^^

De rien !

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