Je m'appelle Aryana Green, on me surnomme Arya.  Je suis né(e) le 30 novembre 1984 à New York et j'ai 39 ans. Je suis , en couple et je préfère les hommes, . J'adore mon métier, car je suis Architecte.  Je fais partie du groupe LOVERS et il paraît que je ressemble à Katie Cassidy.

Avant la tragédie, elle incarnait la douceur et la gentillesse, portant en elle une inclination naturelle à aider son prochain. Sa bienveillance et sa générosité étaient des traits qui la caractérisaient, lui valant d'être perçue comme une âme authentiquement bienveillante, toujours prête à tendre la main à ceux dans le besoin. Son empathie était une force, lui permettant de ressentir les émotions des autres et d'y répondre avec une compassion sincère. Son altruisme la guidait à chercher des moyens d'apporter du bien et du réconfort à ceux qui l'entouraient. Toutefois, par moments, elle pouvait se montrer un peu trop conciliante, hésitant à dire non même lorsque cela était nécessaire. Son manque de confiance en elle-même pouvait également se manifester, la poussant parfois à douter de ses propres capacités ou à hésiter face à des décisions importantes. Son désir d'éviter les confrontations la conduisait parfois à mettre ses propres besoins de côté. L'amour pour son mari était une constante dans sa vie. Leur affection se traduisait par de petits gestes d'attention et un soutien mutuel. Leur union créait une atmosphère chaleureuse et bienveillante autour d'eux, renforçant leur lien déjà solide. Ils formaient un duo complémentaire, se soutenant l'un l'autre dans les hauts et les bas de la vie quotidienne.

Après la tragédie, son monde s'est écroulé. La perte de son enfant l'a plongée dans une profonde détresse, rendant chaque jour une montagne à gravir. Elle peinait à remonter la pente, portant en elle le poids immense de la douleur et du chagrin. Les petites joies de la vie semblaient ternes en comparaison de la perte qu'elle avait subie. La confiance en elle-même s'est érodée, laissant place à une vulnérabilité qu'elle n'avait jamais connue auparavant. Chaque pas était devenu une lutte, chaque sourire un effort. Pourtant, même au milieu de l'obscurité, elle trouvait en elle-même une résilience inattendue, une force cachée qui l'aidait à avancer, même si c'était à petits pas. Son mari était devenu son roc, son soutien inébranlable, et leur amour, bien que mis à l'épreuve, s'est renforcé dans l'adversité. Chaque jour était un nouveau défi, mais elle trouvait en elle-même la force de continuer, de rendre hommage à la mémoire de son enfant et de faire face à l'adversité avec une grâce remarquable. Elle a appris que la tragédie avait failli briser leur amour. Elle avait été trop absorbée par sa propre douleur pour voir que son mari souffrait également."

La vie est parfois cruelle, surtout lorsqu'elle vous arrache votre trésor. Mon fils avait 15 ans, c'était notre joyau à tous les deux. Mon monde, c'est alors écroulé et j'ai bien failli perdre l'homme de ma vie. J'ai une seconde chance et je compte mettre tout en œuvre pour ne pas le perdre, lui celui qui a fait battre mon cœur alors que j'étais encore au lycée. On s'est rencontrés en première année, il était si beau que je suis tombée amoureuse de lui dès que mon regard s'est posé sur lui.

Mon enfance a été douce et chaleureuse, baignée dans l'amour de parents attentionnés. J'ai été entourée de tendresse et de soins, ce qui a forgé la personne que je suis devenue. Mes parents étaient des modèles d'amour et de stabilité, m'offrant un foyer où je me sentais en sécurité.

Puis vint l'épreuve qui allait mettre à l'épreuve notre amour comme jamais auparavant. La perte de notre enfant fut comme une descente aux enfers, un tourbillon de douleur qui engloutit tout sur son passage. Pendant un temps, il semblait que plus rien n'existait que cette souffrance dévorante. Chaque jour était un combat pour trouver ne serait-ce qu'un soupçon de lumière dans cet océan d'obscurité.

J'avais oublié, dans ma douleur, que mon mari aussi avait perdu son fils. La tristesse l'avait emporté sur tout le reste, aveuglant nos cœurs meurtris. Mais un jour, alors que je regardais mon mari, j'ai vu la même douleur dans ses yeux, le même vide dans son regard. C'était comme si un éclair de lucidité avait transpercé l'obscurité qui nous enveloppait. Je me suis rendu compte que nous étions tous les deux prisonniers de notre chagrin, et que si nous ne faisions rien, il allait nous détruire.

C'est à ce moment-là que j'ai compris que nous avions besoin de nous donner une seconde chance. Pas seulement pour nous, mais aussi pour notre fils, dont la mémoire méritait d'être honorée dans la lumière plutôt que dans l'ombre de notre douleur. Nous méritions tous les deux de trouver la paix et de continuer à vivre, pour lui, et pour nous-mêmes.

Nous avons finalement pris la décision de partir, de quitter la maison qui avait été le témoin de notre bonheur et de nos rires, mais aussi de notre chagrin. Les souvenirs de notre fils étaient partout, dans chaque recoin, chaque pièce. Chaque coin de cette maison respirait son absence, et il devenait insupportable de rester.

Nous avons choisi de déménager à Paleyos, une nouvelle ville qui serait le théâtre de notre renaissance. C'était difficile, bien sûr, de laisser derrière nous tant de souvenirs chéris, mais c'était aussi le premier pas vers notre guérison, vers un avenir où notre amour pour notre fils continuerait à briller, même dans notre nouveau chez-nous."

Mon pseudo sur le net est Roseblanche, Océ ou actuellement Kimbell Merton (le nom d'un de mes personnage crée qui me tient à cœur), j'ai dépasser la 20ᵉ année et j'aime ce forum, faire du rp (forum et console), écrire, inventé des histoires.. J'ai découvert le forum Joane et je le trouve magnifique. Je fais du RP depuis pas mal d'années, en général je réponds en quelques jours, voir quelques mois tout dépends de mon états de santé.. Et voici mon dernier mot Merci, Merci et encore Merci...